2 juin 2005
FADO (Cliquer pour agrandir)
" Mais voilà qu'un autre jour
Quand le vent soufflait à peine
Et le ciel sortait de mer,
A la proue d'un voilier
se tenait un autre marin
Qui était triste et qui chantait
Ah! quelle beauté plus immense,
Terre ou je marche,ma montagne et ma vallée
Parmi feuilles,fleurs et fruits d'or,
Vois si tu vois les terres d'Espagne,
Les sables du Portugal,
Dans un regard aveuglé de pleurs.
Ora eis que embora outro dia
Quando o vento mal bulia
E o céu o mar prolongava,
A proa de outro veleiro
Velava outro marinheiro
Que estando triste cantava.
Ai, que lindeza tamanha,
meu chào,meu monte,meu vale
De folhas,flores,frutos de oiro,
Vê se vês terras de Espanha,
Areias de Portugal,
Olhar ceguihno de choro.
José Régio
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