24 janvier 2006
A TOI
Ce coquillage infime au creux de ma mémoire
je l'ai aimé pour son murmure
de Toi que j'écoutais,
de toi plus intérieur que le bruit de la mer,
quand mon rêve d'enfant l'appelait l'Aventure.
O Toi,coeur de mon être,
Ami,vaste Inconnu,
plus secret qu'un arôme,
dont la voix me pénètre,
ô Toi qui règles les atomes,
oublie ma bohême,
car,tout au fond,je t'aime.
Henry Orban
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