14 décembre 2005
Ferdinand en Lusitanie
"Epuisépar trop d'efforts,je suis allé d'arbre en arbre,d'ombre en
ombre,puis je me suis effondré dans cette pririe d'où je vous parle
dans un dernier soupir.
Que le Bon Dieu des ânes me pardonne ma gourmandise passée et me
fasse entrer tout de suite au Paradis.Si la chose est possible,ô mon
Dieu,j'aimerais ne pas rester trop longtemps dans le paddock du
Purgatoire,car on m'a dit qu'il n'y avait plus rien à brouter depuis le
passage des chevaux d'Attilâne."
(Ferdinand en Lusitanie) Jacques Clouteau
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